Archive : septembre, 2019

Innov’Action 2019 : 2 agriculteurs « pionniers » ouvrent les portes de leurs exploitations dans l’Aude

La Chambre d’agriculture de l’Aude organise 2 journées Innov’Action en 2019 qui auront lieu :
– Vendredi 4 octobre à 10h00 au GAEC des Chamoises chez Rachel DEVEZE et Wilko KRONEMEYER à LAIRIERE
– Mardi 8 octobre à 14h00 à l’EARL Calmet et Fils à FANJEAUX

Le concept : donner la parole aux agriculteurs pour présenter leurs pratiques innovantes autour de la triple performance économique, sociale et environnementale, à d’autres agriculteurs, directement sur leur exploitation, afin de favoriser le transfert de pratiques et de connaissances.

Les secteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire sont le pilier de l’économie de la nouvelle Région, devant l’aéronautique et le tourisme. Pour autant, ces secteurs font face aujourd’hui à d’importantes crises – économiques, sociales, sanitaires et environnementales. Le défi pour les agriculteurs est de concilier des entreprises agricoles compétitives et des systèmes de production à faible impact sur l’environnement et ainsi pérenniser leurs exploitations. Pour y arriver, l’innovation est primordiale.

Innov’Action : 2 fermes audoises, source d’innovation
Vendredi 4 octobre à 10h00 au GAEC des Chamoises à LAIRIERE
, une exploitation familiale conduite par Rachel Deveze installée depuis 2000 et Wilko Kronemeyer conjoint collaborateur avant d’être associé au sein du GAEC créé en 2018.

« La ferme se situe dans les Corbières, au sud de Carcassonne, sur un secteur de garrigues et chênes verts pâturés toute l’année par le troupeau. Les 90 ha de parcours et 4 ha de prairies naturelles assurent l’autonomie fourragère à hauteur de 80%.

L’implantation de l’élevage dans cet environnement naturel va de pair avec la volonté des éleveurs de conduire leur troupeau en ayant le moins possible recours aux traitements chimiques et allopathiques, les poussant de plus en plus à s’orienter vers des méthodes alternatives de prévention ou de soins au fil des formations suivies.

Le système alimentaire est basé sur la valorisation des ressources pastorales, aucune culture n’est pratiquée, les stocks sont achetés, les équipements et matériels sont exclusivement consacrés à l’élevage et la transformation.

L’élevage est constitué d’une 50aine de chèvres alpines dont le lait est transformé sur place en fromages fermiers, pour être commercialisés localement en circuit court. La gamme est diversifiée pour répondre aux demandes de la clientèle (fromages lactiques de différents formats et affinages, tomme pour permettre de faire du report de lait de printemps sur de la commercialisation estivale et yaourts). »

Mardi 8 octobre à 14h00 à l’EARL Calmet et Fils, dont les exploitants sont agriculteurs sur la commune de Fanjeaux, non loin de Bram. Ils gèrent 260 ha dont 60 ha de vigne, 20 ha de pépinières viticoles et 180 ha en grandes cultures (maïs semence, blé dur, tournesol…). L’exploitation est adhérente au GIEE des Vignerons de l’Ouest Audois. Les exploitants souhaitent diminuer le recours aux intrants chimiques, notamment le désherbage chimique en vigne.

« Au tout début, Naïo déléguait une partie de la construction de ses premiers robots aux Ets Lapeyre, non loin de la pépinière Calmet. Cette proximité a conduit à la première rencontre entre les deux parties. Lorsque Naïo a souhaité lancer ses prototypes TED sur le terrain en montant des alliances avec certains domaines, la pépinière Calmet a souhaité rentrer dans le dispositif. En effet, sur leurs vignes, des MAE « 0 herbicide » ont été engagées. Un interceps est donc utilisé, mais le temps de travail et le chevauchement du travail inter-ceps avec les autres travaux sont un frein majeur.

Des négociations ont débuté entre les deux parties, mais le prix et le fait de devoir mettre à disposition une personne pour faire un suivi, et une remontée de données régulières ont été un obstacle. Dans le même temps, Arterris Innovation était dans la même réflexion. Après une réunion commune, il a été décidé qu’Arterris achèterait le robot et mettrait une personne à disposition. La pépinière Calmet elle, mettrait à disposition les parcelles et participerait au suivi. »

Innov’Action 2019 : 2 agriculteurs « pionniers » ouvrent les portes de leurs exploitations dans le Lot

La Chambre d’agriculture du Lot organise 2 journées Innov’Action en 2019 qui auront lieu :
– Mardi 17 septembre à 10h00 chez Alain Delcayre – Earl Les Graviers à MEYRONNE
– Lundi 23 septembre à 14h00 au GAEC La Ferme des Alix à Rocamadour.

Le concept : donner la parole aux agriculteurs pour présenter leurs pratiques innovantes autour de la triple performance économique, sociale et environnementale, à d’autres agriculteurs, directement sur leur exploitation, afin de favoriser le transfert de pratiques et de connaissances.

Les secteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire sont le pilier de l’économie de la nouvelle Région, devant l’aéronautique et le tourisme. Pour autant, ces secteurs font face aujourd’hui à d’importantes crises – économiques, sociales, sanitaires et environnementales. Le défi pour les agriculteurs est de concilier des entreprises agricoles compétitives et des systèmes de production à faible impact sur l’environnement et ainsi pérenniser leurs exploitations. Pour y arriver, l’innovation est primordiale.

Innov’Action : 2 fermes lotoises, sources d’innovation

Mardi 17 septembre à 10h00 chez Alain Delcayre installé depuis 1983 à Meyronne, dans la Vallée de la Dordogne où il s’est lancé dans la culture de soja pour l’alimentation de ses canards. Il fabrique lui-même son aliment à la ferme avec ses céréales mais était contraint d’acheter le complément protéique à l’extérieur. Grâce à l’investissement de sa coopérative Valcausse dans un toasteur de graines, depuis 2018, il peut y faire toaster son propre soja. Cela lui permet de le valoriser dans son aliment fermier, améliorant ainsi l’autonomie de son exploitation.

Son exploitation comporte 70ha de surface agricole utile dédiées aux productions végétales : 14 ha de maïs grain, 6 ha de céréales, 3 ha de soja, prairies et parcours, ainsi que 10 ha de noyers. Il élève 5000 canards gras par an, du caneton d’un jour jusqu’au canard gras livré à sa coopérative qui les transforme et vend. Par ailleurs, il dispose également d’un petit cheptel de 15 vaches allaitantes.

Il témoigne « je suis très attaché à la haute qualité de notre production de foie gras et conserves de canard gras qui porte l’image et le savoir-faire de notre terroir. Aujourd’hui, les consommateurs sont très exigeants et veulent savoir d’où viennent les aliments et comment sont élevés nos animaux. J’ai donc développé une fabrique d’aliments à la ferme mais il manquait l’approvisionnement en protéines qui m’obligeait à acheter le soja à l’extérieur. En effet, la graine de soja récoltée n’est pas consommable directement car elle contient des toxines. Pour la rendre digestible, il faut la toaster, c’est-à-dire la chauffer à haute température pendant une durée précise. Nous sommes plusieurs éleveurs à nous être interrogés sur l’opportunité d’investir en coopérative sur un toasteur. En 2018, la coopérative a franchi le pas, ce qui m’a permis de faire consommer pour la première fois mon propre soja. En plus, de l’intérêt qualitatif, il me revient nettement moins cher que le soja acheté. »

Lundi 23 septembre à 14h00 au GAEC La Ferme des Alix à Rocamadour, qui est une exploitation d’élevage des Causses du Quercy qui a ré-introduit la culture de la lavande, sur un département autrefois producteur d’huiles essentielles, de plantes à parfum aromatiques et médicinales.

Jean-Marc Soulayrès produit et transforme la lavande sur son exploitation, président de l’association Quercy PPAM, il est pleinement impliqué dans le développement de la filière. Son exploitation est une ferme traditionnelle du Causse de Rocamadour avec un cheptel de brebis caussenardes et Romane.

Un peu d’histoire. Introduite en Quercy après la première guerre mondiale, la lavande y a trouvé un terroir de prédilection en s’y développant très fortement. En 1960, le Quercy produisait 10 % de la production nationale d’huile essentielle de lavande, faisant parti des meilleurs crus à parfum du pays. Malheureusement, les problèmes techniques et économiques ont engendré la disparition de cette filière à partir de la fin des années 1970.

Aujourd’hui, les consommateurs, la parfumerie, la cosmétique ainsi que l’aromathérapie expriment une forte demande de garantie, de naturalité et de proximité. Ils cherchent donc à se réapprovisionner en France.

Il témoigne : « Nous savions que ce terroir est propice à la culture de lavande de très haute qualité. Nous avons donc décidé de relancer cette production qui jouit d’une image et d’une notoriété particulièrement positive. Notre objectif est de produire de l’huile essentielle, de l’eau florale, des bouquets de fleurs séchées ainsi que toute une gamme de produits transformés parfumés à la lavande (tisanes, savons, miel, sirop, liqueurs, sels de bain…). J’ai investi dans du petit matériel de culture (bineuse, récolteuse…) et dans un alambic de distillation.

Avec mon épouse Rachel, nous avons décidé de proposer des produits très nature en cultivant en bio afin de répondre à la demande actuelle des consommateurs. Compte tenu du développement prometteur de cette filière PPAM sur le Quercy, beaucoup de producteurs ont décidé de se réunir au sein d’une association Quercy PPAM pour fédérer les énergies et appuyer cette renaissance. »

Harmonie Mutuelle organise de nombreuses Agoras Mutualistes au plus près des territoires

Harmonie Mutuelle organise plusieurs assemblées annuelles territoriales :

– les Cévennes jeudi 19 septembre à Aigues-Mortes
– le Languedoc-Roussillon mardi 24 septembre à Narbonne
– l’Ariège-Pyrénées lundi 30 septembre à Montgailhard
– le Limousin le jeudi 10 octobre à Limoges
– le Tarn-Aveyron mercredi 16 octobre à Réalmont
– le Lot et Tarn-et-Garonne le jeudi 17 octobre à Montauban

Les participants attendus découvriront les actualités de leur mutuelle au travers de forums récapitulant les actions menées, tout le long de l’année sur le territoire, par les élus de la 1re mutuelle santé de France.

Harmonie Mutuelle, acteur de santé global et local pour l’accès à des soins de qualité pour tous

Harmonie Mutuelle porte deux ambitions :
1/accompagner les adhérents tout au long de leur vie et les aider à faire face aux aléas de l’existence ;
2/être un acteur majeur de la santé et de la structuration de la protection sociale.

Sur l’ensemble de l’Occitanie, Harmonie Mutuelle compte de nombreuses agences de proximité, et emploie environ 400 salariés. Tout au long de l’année, elle organise de multiples ateliers prévention, gratuits, pour apprendre les gestes qui sauvent, les bases d’une alimentation équilibrée, le bon usage des médicaments en partenariat avec Cyclamed… ainsi près de 10 000 personnes ont pu être sensibilisées.

Harmonie Mutuelle soutient également de nombreuses actions locales comme les parcours du cœurs à La Grand Combe, Saint-Ambroix, Le Grau du Roi et Alès, avec des dépistages des maladies cardiovasculaires et du diabète en partenariat avec l’antenne régionale de la Fédération Française de cardiologie, des ateliers prévention proposés aux seniors du Centre socio-culturel ESCAL de Marguerittes et du CCAS de Nîmes (gestes de 1ers secours, dépistage de maladies cardio-vasculaires et diabète…) ainsi qu’aux jeunes du CCAS de Nîmes avec une initiation aux gestes de 1ers secours et à la réduction des risques.

Harmonie Mutuelle accompagne et soutient ses adhérents dans les moments difficiles grâce à un service d’assistance et l’aide de l’action sociale. En 2018, Harmonie Mutuelle en région sud-ouest a reçu 2 680 appels pour une demande d’aide auprès de l’action sociale : aide financière pour l’accès aux soins, accompagnement par une assistante sociale, information.

« Être délégué d’Harmonie Mutuelle, c’est faire vivre le lien de proximité entre les adhérents et leur mutuelle. Je peux les représenter à l’assemblée d’adhérents, ou sur mon territoire, auprès des acteurs locaux de la santé, de la solidarité et du tissu associatif. C’est un engagement qui correspond bien à mes valeurs. » Alain Reynaud, Président du territoire des Cévennes, Harmonie Mutuelle

Dans le Sud-Ouest, Harmonie Mutuelle est une marque présente dans la région. Organisme à but non lucratif, Harmonie Mutuelle fonctionne grâce à un réseau de délégués qui assurent une relation permanente de proximité et de solidarité avec ses adhérents.

Harmonie Mutuelle, étant engagée dans une mission de prévention santé et actrice de l’économie sociale et solidaire, a souhaité mettre en application la réforme du reste-à-charge zéro le 1er juillet dernier en optique, dentaire et audiologie, soit près de deux ans d’avance sur le calendrier du gouvernement.

« La santé est si précieuse qu’elle ne peut pas être un luxe. Face à ce constat, Harmonie Mutuelle se positionne comme l’acteur global de santé référent qui, par son savoir-faire, son périmètre d’action et son leadership, protège la santé des Français aujourd’hui et milite pour la santé de demain.
En s’engageant au quotidien pour permettre à tous l’accès à la santé, à des soins de qualité et à des coûts maîtrisés, Harmonie Mutuelle s’affirme comme un acteur proche de chacun et ouvert à tous, qui accompagne, protège et soutient ses adhérents, quelles que soient leurs situations de vie.
En plaçant l’intérêt des adhérents au cœur de son projet, en rendant accessible au plus grand nombre, y compris en termes de tarifs, une complémentaire santé de qualité, en restant à l’écoute de nos adhérents pour leur apporter la solution la plus adaptée à leurs besoins, Harmonie Mutuelle démontre que le modèle mutualiste concilie développement économique et utilité sociale.
»

Roland Sturmel, Président Région Sud-Ouest Harmonie Mutuelle

Première mutuelle santé de France, Harmonie Mutuelle garantit la qualité de l’offre et la maîtrise des coûts, pèse nationalement au profit des adhérents dans les négociations avec les professionnels et établissements de santé, développe une offre de soins et de services mutualistes, construit des partenariats au sein du mouvement mutualiste, mais aussi au-delà. La dimension nationale d’Harmonie Mutuelle, et sa représentativité, renforcent également sa légitimité pour prendre toute sa place dans le débat public et peser, au nom de ses adhérents, sur les décisions concernant l’avenir de la protection sociale.

Harmonie Mutuelle est une fabrique de l’innovation sociale en santé, en prévention et en prévoyance pour les entreprises et les particuliers :
– Un acteur de prévention majeur : plusieurs programmes d’accompagnement ciblés (La santé de votre enfant, Demain s’invente aujourd’hui, La santé gagne l’entreprise…), rencontres et ateliers, services personnalisés, information (harmonie-prevention.fr) ;
– Un acteur de santé : une offre complète de protection santé à coûts maîtrises telles qu’Harmonie Santé Particulier ou Collectivités ou TNS, assistance, téléconsultation, etc.
– Un partenaire en prévoyance des particuliers, professionnels indépendants et des entreprises : pour faire face aux aléas de la vie, Harmonie Mutuelle propose des offres « garanties décès », « garantie accident de la vie », etc.

Proximité et démocratie : des valeurs au service des adhérents
Dans un souci de placer l’adhérent au cœur de ses préoccupations et de lui apporter des services de soins et de santé de qualité, Harmonie Mutuelle s’est structurée autour de valeurs de proximité et de démocratie sociale. La proximité se traduit par un réseau de 1 902 délégués qui participent à la mise en œuvre de nombreuses actions de promotion et de prévention de la santé à l’intention des adhérents. Des conseillers mutualistes sont à l’écoute de toutes les situations que peuvent traverser des personnes en difficultés, dans plus de 250 agences réparties sur l’ensemble de l’hexagone. Organisme à but non lucratif, une mutuelle n’est pas une société de capitaux : elle est le patrimoine commun de ses adhérents. Une spécificité qui permet à chaque adhérent de faire entendre sa voix et de participer à la vie de la mutuelle. C’est pour cela que des représentants des adhérents siègent dans les instances nationales (AG, conseil d’administration, commissions nationales…) et territoriales.

Harmonie Mutuelle partenaire santé de La Gaillacoise – Samedi 14 septembre de 14h à 19h

Harmonie Mutuelle est partenaire santé de la 5ème édition du Trail urbain La Gaillacoise qui se déroulera ce samedi 14 septembre.
Il s’agit d’une course en relais de 15 km dans le centre-ville de Gaillac organisée par l’UAG Running. Chaque équipe se compose de 3 coureurs effectuant chacun 5 km. Nouveauté cette année, une épreuve pour les enfants à 14h30 tandis que les plus grands prendront le départ à 17h30, toujours depuis le Parc de Foucaud situé au cœur de la bastide tarnaise.

Cette année, la mairie profite de cet événement pour organiser en parallèle, la fête des associations.

Pour la 3ème année consécutive, Harmonie Mutuelle proposera une action de prévention sur son stand de 14h à 19h. Sur les conseils d’une infirmière, les participants et visiteurs pourront mesurer leur forme physique en s’adonnant à des tests de souffle.

Harmonie Mutuelle, partenaire du sport et de la santé

Parce que la prévention passe aussi par le sport, Harmonie Mutuelle soutient la pratique d’une activité sportive régulière dès le plus jeune âge, et tout au long de la vie, en s’associant à la 3ème édition du trail urbain La Gaillacoise, où des athlètes de haut niveau sont attendus. « Dans ses missions au quotidien, Harmonie Mutuelle, 1re mutuelle de France, encourage la pratique d’une activité physique pour que chacun puisse être acteur de sa santé. Aujourd’hui, nous sommes ravis de reconduire notre partenariat avec le trail urbain La Gaillacoise. À travers cette manifestation conviviale et fédératrice, Harmonie Mutuelle sensibilise les publics, jeunes et adultes, aux bénéfices du sport. Car au-delà d’un comportement sain, ces événements véhiculent aussi un véritable esprit d’équipe et de solidarité. » Stéphane Kergourlay, Directeur Régional Sud-Ouest d’Harmonie Mutuelle

À cette occasion, Harmonie Mutuelle proposera une animation prévention : tester son souffle. Impliquée au plus près de la vie de ses adhérents, Harmonie Mutuelle s’engage pour préserver et prévenir la santé de tous, en soutenant de nombreux événements sportifs en Occitanie : rugby, cyclisme, gymnastique, basket, football, course à pied, triathlon, et aussi handisport.

Innov’Action 2019 : 2 agriculteurs « pionniers » ouvrent les portes de leur exploitation dans le Gers

La Chambre d’agriculture du Gers organise 2 journées Innov’Action en 2019 qui auront lieu :
– Jeudi 26 septembre de 9h30 à 12h30 : ASA CANTON DE SARAMON à TIRENT-PONTÉJAC
– Lundi 7 Octobre de 9h30 à 17h00 chez Bastien MAZZONETTO à SAINT-PUY

Le concept : donner la parole aux agriculteurs pour présenter leurs pratiques innovantes autour de la triple performance économique, sociale et environnementale, à d’autres agriculteurs, directement sur leur exploitation, afin de favoriser le transfert de pratiques et de connaissances.

Les secteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire sont le pilier de l’économie de la nouvelle Région, devant l’aéronautique et le tourisme. Pour autant, ces secteurs font face aujourd’hui à d’importantes crises – économiques, sociales, sanitaires et environnementales. Le défi pour les agriculteurs est de concilier des entreprises agricoles compétitives et des systèmes de production à faible impact sur l’environnement et ainsi pérenniser leurs exploitations. Pour y arriver, l’innovation est primordiale.

Innov’Action : 2 fermes gersoises sources d’innovation

Jeudi 26 septembre de 9h30 à 12h30 : ASA CANTON DE SARAMON à TIRENTPONTÉJAC, qui existe depuis presque 40 ans et a servi de base à un projet d’irrigation collectif. Ce projet a porté sur la mise en place d’une station de pompage commune et sur la modernisation d’un réseau de canalisation étendu permettant l’irrigation sur des parcelles qui, jusqu’alors, n’avaient pas accès à l’eau. L’aménagement de ce réseau enterré et l’acquisition par les agriculteurs de l’ASA de matériels performants a permis de développer une irrigation plus efficiente.

L’ASA Canton de Saramon : une démarche collective d’envergure
L’ASA Canton de Saramon existe depuis les années 80. Elle avait pour objet l’amélioration du potentiel des terres par le drainage et l’irrigation. Cette structure existante a été le creuset d’un projet d’irrigation collectif d’envergure qui a germé dans les esprits en 2016 et s’est concrétisé plus de 3 ans plus tard.
Lors d’un mouvement de foncier sur le secteur, une entente s’est établie entre les agriculteurs du territoire pour que 80% des terres bénéficient à 5 jeunes agriculteurs. Ces terres étaient pourvues d’autorisation d’irrigation. Une réflexion s’est également engagée sur la gestion de l’irrigation. En parallèle, d’autres agriculteurs réfléchissaient de leur côté à investir, seuls ou en copropriété, pour moderniser leur réseau d’irrigation.

De cette situation, un projet collectif de gestion de l’irrigation a vu le jour. La première étape a été de rénover l’ASA du canton de Saramon. Une Assemblée Générale a été réunie, un nouveau bureau élu, les statuts ont été redéfinis,…

Une des particularités de ce projet collectif est la mise en commun des volumes d’irrigation. Avant projet, la totalité des volumes autorisés n’étant pas utilisés, ils ont été mis en commun ce qui a permis l’intégration de nouveaux agriculteurs qui n’irriguaient pas au préalable et aussi d’augmenter la capacité d’irrigation de ce territoire.

Actuellement, 7 exploitations agricoles sont engagées au sein de l’ASA ce qui implique 10 agriculteurs dont 5 jeunes agriculteurs. Elle rayonne sur 7 communes avec 600 ha qui ont été rendus irrigables pour 250 ha irrigués (équivalent maïs).

Lundi 07 octobre de 9h30 à 17h : chez Bastien MAZZONETTO à SAINT-PUY, qui est installé au sein d’un GAEC familial depuis 2011, sur une exploitation de grandes cultures et vignes, dont 25% de la surface est convertie en bio. L’assolement est composé de blé, tournesol, colza, orge, soja, triticale avec une diversification à venir (lentille, pois chiche) sur les parcelles en AB. Une entreprise de travaux agricoles, spécialisée en agriculture biologique, est adossée au GAEC. Dans ce contexte, une faucheuse andaineuse a été acquise en 2018. Pour cette deuxième campagne culturale, elle a récolté 900 ha en 2019 dont 120 ha de blé de l’exploitation.

« La technique du fauchage-andainage présente de nombreux atouts et peut être mise en œuvre sur un bon nombre de cultures : sarrasin, chia, pois chiche mais aussi céréales à paille. Le fauchage intervient dès la maturité physiologique du grain, ce qui permet une anticipation de la récolte de 8 à 15 jours, ce qui peut permettre la mise en place d’une culture dérobée.

Le séchage en andain permet de gagner jusqu’à 15% d’humidité du grain, ce qui rend le triage à la récolte plus performant. »

LA LIMONADERIE : un projet et un lieu résolument créatifs

Située en Ariège, et plus précisément à Foix, LA LIMONADERIE est un lieu artistique atypique et créateur d’événements. Cette Société Coopérative et Participative (SCOP) a pour vocation de faire vivre la culture sur son territoire et d’envisager le travail autrement.

Un véritable décapsuleur d’énergie La LIMONADERIE est une structure culturelle pluridisciplinaire qui regroupe des activités culturelles (théâtre, danse, cirque…) mais aussi de créations artistiques (spectacles, parades et autres animations). Le lieu propose également des services aux entreprises (espaces de réunions, team building, soirées privées et coworking) et aux artistes avec le Limonpaie, un service d’externalisation de la paie pour les théâtres, compagnies, MJC, entreprises sous licence de spectacle.

Avant la création de l’association en avril 2017, le projet LA LIMONADERIE est passé par CATALIS, l’incubateur d’innovation sociale porté par l’Union régionale des SCOP. Le parcours d’accompagnement et les formations proposées dans le cadre de l’incubateur ont convaincu les co-gérants que le modèle idéal pour leur projet serait le modèle coopératif. La transformation en SCOP s’est faite en douceur grâce à l’équipe de l’Union Régionale et s’est ainsi concrétisée en juillet dernier. « Avec la SCOP, nous sommes 100 % responsables et notre activité culturelle est reconnue comme acteur économique. Le statut nous permet d’exercer ensemble nos métiers, de développer notre outil de travail et notre savoir-faire en partageant les risques, les profits et les décisions », déclare Joëlle RIBONI, co-gérante de la coopérative. En rejoignant le réseau des SCOP, LA LIMONADERIE souhaite enrichir son réseau, développer ses rencontres et ses expériences, mais également faire connaître la démarche au niveau régional.

Un duo de créateurs

A l’origine de ce lieu inventif, deux co-fondateurs au parcours atypique. D’un côté, Joëlle RIBONI qui a commencé par une formation en transport international avant de se consacrer à l’art, au spectacle et à la mise en scène dans le théâtre. De l’autre côté, Guillaume KALIFA DEBRAY, ancien directeur de colonie, artisan électricien, qui a migré par la suite vers l’administration culturelle. « Créer du beau et du lien à travers ce lieu, communiquer de la bonne humeur, tout en restant dans la réalité », voici leur passion commune qui les anime au quotidien. Aujourd’hui, LA LIMONADERIE regroupe 40 artistes salariés sous le régime de l’intermittence et la masse salariale du service Limonpaie s’élève à 253 622 euros. Jouer le rôle de soutien de création artistique, fédérer les autres acteurs du territoire afin de continuer à faire évoluer le lieu en tant qu’acteur culturel et développer l’équipe (nouveaux salariés, associés et un service communication), tels sont les objectifs de la coopérative.

Les robes de mariée de L’Atelier 2B sur le podium de la Bridal Fashion Week de New-York – Mercredi 2 octobre 2019

Les nouvelles créations de l’Atelier 2B seront présentées lors du prestigieux défilé de la soirée de gala qui inaugura la Bridal Fashion Week le mercredi 2 octobre prochain dans la capitale de la mode outre-Atlantique.

• Amandine Béjon et Sandra Bardi, deux jeunes créatrices toulousaines, dont le savoir-faire est reconnu artisanat d’art, sont à la tête de leur marque depuis 2010. Leur travail a été sélectionné parmi celui de nombreux créateurs français pour cet événement référence dans ce secteur très concurrentiel.

• La collection 2020 de l’Atelier 2B se dévoilera donc en avant-première cet automne à New-York, avant d’être présentée dans leur atelier situé 13 boulevard Armand Duportal à Toulouse ainsi que sur leur site Internet www.atelier2b-toulouse.com

L’Atelier 2B : des robes de mariée façonnées haute-couture & 100 % made in France

Résolument contemporaines et féminines, aux touches vintages ou bohèmes, les robes de mariée de l’Atelier 2B demeurent dans la séduction absolue avec un soin tout particulier apporté aux détails : des dos travaillés, des encolures et des manches toujours joliment sublimées, dans un esprit haute-couture.

Avec une prédilection pour les modèles près du corps dont les lignes sont élégantes et fluides, dans des matières françaises, raffinées et délicates, comme les crêpes, satins duchesse, mousselines et tulles de soie, plumetis, dentelles de Calais et Chantilly… Les assemblages sont travaillés pour obtenir des effets de transparence, des volumes aériens, légers et vaporeux.

« Des robes de mariée pour romantiques endiablées ! Nous avons choisi un style angélique, avec une pointe de rock ’n’roll ! Tous les ans, nous imaginons 10 nouvelles silhouettes qui viennent enrichir notre collection principale.
Des robes longues ou courtes, des gilets en dentelle, des tops et des jupes que l’on peut marier à volonté ! Chaque modèle est personnalisable, et confectionné d’après les mensurations et la morphologie de la future mariée, de façon haute-couture, dans notre atelier toulousain. Nous avons à cœur que nos mariées se sentent à la fois sûres d’elles et mises en valeur en portant nos robes, durant cette journée unique où tous les regards sont braqués sur elles. Nos mariées nous confient à quel point elles ont apprécié porter leur robe durant la journée et avoir eu le vague-à-l’âme au moment de la quitter.
»
Amandine Béjon et Sandra Bardi, de l’Atelier 2B

Le prix moyen des modèles confectionnés par l’Atelier 2B est de 2450 € pour une silhouette complète. Il faut compter 8 à 12 mois pour réaliser une robe qui totalisera une quarantaine d’heures de travail en moyenne, et pas moins de 4 rendez-vous d’essayage.

L’Atelier 2B : l’excellence toulousaine à New-York
Les robes de mariée de l’Atelier 2B ont retenu l’attention du Wedding District (organisateur du défilé) ainsi que du comité de la Bridal Fashion Week de New-York, l’événement mariage où seront dévoilées mercredi 2 octobre prochain en avant-première les dernières collections du monde entier.

Une belle opportunité pour les deux amies, membres du Wedding District, de participer à un moment unique pour rencontrer les professionnels du monde du mariage : stylistes, responsables de boutique spécialisée, fournisseurs, wedding planers les plus en vogue… et tisser ainsi de nouveaux partenariats et collaborations.

À l’exigence et au soucis du détail qui anime Amandine, Sandra répond par sa spontanéité et son efficacité ! Toutes deux sont complémentaires et, tant dans leurs vies privées qu’à l’atelier, elles mettent un point d’honneur à respecter des règles qui sont pour elles d’usage quotidien, comme par exemple s’approvisionner le plus localement possible, défendre le fait main et le sur-mesure. Un autre sujet très important de leur philosophie est le respect de la nature et de l’environnement.

« Les secteurs de la mode et du prêt-à-porter doivent se préoccuper aussi de nos modes de vie et de consommation. À notre échelle, nous accordons une grande attention à la réduction et au tri des déchets, à nos circuits d’approvisionnement et à la réutilisation de nos chutes de tissu. »

Innov’Action 2019 : 2 agriculteurs « pionniers » ouvrent les portes de leur exploitation en Haute-Garonne

La Chambre d’agriculture de la Haute-Garonne organise les journées Innov’Action 2019 qui auront lieu :
– Mardi 24 septembre à 9h30 à EARL Chiaroscuro à MontbrunLauragais
– Mardi 1er octobre à 9h30 à l’exploitation du lycée agricole de St Gaudens située à St Médard

Le concept : donner la parole aux agriculteurs pour présenter leurs pratiques innovantes autour de la triple performance économique, sociale et environnementale, à d’autres agriculteurs, directement sur leur exploitation, afin de favoriser le transfert de pratiques et de connaissances.

Les secteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire sont le pilier de l’économie de la nouvelle Région, devant l’aéronautique et le tourisme. Pour autant, ces secteurs font face aujourd’hui à d’importantes crises – économiques, sociales, sanitaires et environnementales. Le défi pour les agriculteurs est de concilier des entreprises agricoles compétitives et des systèmes de production à faible impact sur l’environnement et ainsi pérenniser leurs exploitations. Pour y arriver, l’innovation est primordiale.

Innov’Action : 2 fermes hautes-garonnaises sources d’innovation

Mardi 24 septembre à 9h30 à EARL Chiaroscuro à Montbrun-Lauragais, où Frédéric et Stéphanie ont repris l’exploitation familiale en 2014. Ils l’ont faite évoluer vers une nouvelle agriculture qui a pour but de revenir aux pratiques ancestrales en adoptant des outils modernes.

Ce projet est un challenge pour toute leur famille, il leur permet de vivre sur une exploitation de taille modeste, en lui donnant un caractère durable et viable tout en essayant de sortir des sentiers battus. Ils transforment leurs cultures de manière artisanale, en farine, en pâtes, en huile et les vendent en circuits courts (sur l’exploitation, marchés de producteurs, paniers paysans, …). Leur objectif est de se rapprocher le plus possible du consommateur, dans le but de valoriser au mieux leur métier tout en favorisant la proximité avec les clients.
« Notre installation en 2014 est un cheminement logique de ce que nous souhaitions insuffler à notre chemin de vie : retrouver le triptyque Paysan – Paysage – Pays. » Après nos études d’ingénieurs agronomes, nous avons fait le choix de décaler notre projet d’installation avec toujours comme objectif de revenir à la terre. Après avoir vécu d’autres expériences professionnelles et personnelles, l’appel de la terre a été le plus fort. C’est un métier très dur, mais c’est aussi le plus beau métier du monde. Il permet d’allier la nature au travail, à l’écologie, à la fonction nourricière et à l’aménagement du territoire. Nous avons fait le choix de l’agriculture biologique par opposition à la chimie de synthèse et par conviction vis-à-vis du respect de la nature. Cultiver des terres en bio et valoriser nos récoltes en les transformant est, pour nous, essentiel dans le métier de paysan. »

Mardi 1er octobre à 9h30 à l’exploitation du lycée agricole de St Gaudens située à St Médard, considérée comme l’une des vitrines du Comminges, a connu des évolutions structurantes depuis 2011. Tout d’abord la conversion en agriculture biologique suivie de la mise en place d’un atelier de transformation en yaourts et plus récemment la réalisation d’un bâtiment d’élevage innovant avec du séchage en grange thermovoltaïque.

Ces évolutions couplées avec l’arrivée d’une nouvelle équipe dirigeante en 2018 ont permis à la Ferme de Borde Basse de prendre un tournant salvateur. Une remise à plat du système a conduit l’exploitation vers un retour aux fondamentaux agronomiques. Aujourd’hui, le leitmotiv reste l’autonomie alimentaire des troupeaux : tout est mis en œuvre afin de l’atteindre à terme.

Mise en place d’essais
La ferme de Borde Basse est support de plusieurs projets d’expérimentation en partenariat avec la Chambre d’agriculture de la Haute-Garonne. Tous ces essais répondent totalement aux objectifs et aux orientations donnés à cette exploitation, et notamment l’autonomie alimentaire, la valorisation pour les animaux ainsi que l’augmentation de la valeur azoté des fourrages. Ils réalisent des essais avec différents semoirs, à céréales, monograine et semis direct. Citons par exemple la réalisation de semis sous couvert, la mise en place de couverts d’été (différents mélanges de sorgho et de légumineuses). L’exploitation du lycée réalise également des associations de maïs grain avec des légumineuses tropicales (Lab lab).

Innov’Action 2019 : Un nouvel événement est organisé dans le Tarn-et-Garonne

La Chambre d’agriculture du Tarn-et-Garonne organise une seconde journée Innov’Action 2019 qui aura lieu mardi 24 septembre à 14h00 chez Jérémy Fraysse à BIOULE.

L’exploitation céréalière de 110 ha avec un atelier de production de semences (20 ha en maïs et 14 en tournesol). Les parcelles de l’exploitation se trouvent sur des alluvions sableuses avec une hétérogénéité parcellaire importante.

Depuis 2010, Jérémy commence à intégrer des couverts végétaux afin d’optimiser ses sols, limiter l’érosion et améliorer l’efficience de l’eau. Puis en 2016, il intègre le réseau Dephy ferme Agrosemences créé et animé par la chambre d’agriculture du Tarn-et-Garonne. Les 13 producteurs de ce groupe s’inscrivent dans une démarche d’économie d’intrants et d’amélioration de la qualité des sols pour la production de maïs semences.

N’ayant plus d’élevage bovin lait depuis 2014, il décide d’accueillir une vingtaine de génisses pendant l’hiver ce qui lui permet de gérer efficacement ses couverts végétaux. Aujourd’hui, Jérémy fait également pâturer les résidus de maïs semence lui évitant ainsi une intervention mécanique de destruction de cannes pour réduire la pression des ravageurs.

« Dans nos sols sableux, le problème c’est l’usure du matériel ! Réduire le travail du sol est une solution qui s’accompagne d’un changement de mon système cultural notamment par l’introduction de couverts végétaux.

Avec un ancien ami de classe, éleveur d’Aubrac près de Limoux, nous avons réfléchi ensemble comment améliorer nos systèmes de production pour les rendre plus performants et durables. Lui, avait besoin de plus d’hectares de pâturage et moi, n’ayant plus d’élevage sur l’exploitation, je souhaitais maintenir voire augmenter la matière organique des sols. (L’échange paille-fumier avec mes voisins étant insuffisant). Je prends donc en pension 20 génisses que je laisse pâturer toute l’année sur mon exploitation, selon la période elles sont dans les prairies, les couverts végétaux ou les cannes de maïs.

L’avantage est pour tous les deux : en un an et demi sur mon exploitation, la diversification alimentaire proposée permet aux génisses de gagner 6 mois de croissance par rapport à celles élevées en pâture sur l’exploitation de l’éleveur. Ce gain de croissance permet donc d’obtenir 20 veaux supplémentaires avec une gestion simplifiée. Moi, j’améliore la vie du sol, j’optimise la gestion des couverts végétaux et la gestion post récolte du maïs semence. Cela dans un objectif de diminution des intrants et d’amélioration de la fertilité des sols. »

Atelier prévention Harmonie Mutuelle « Manger en toute conscience » Vendredi 27 septembre à Cahors

Dans le cadre de ses actions prévention, Harmonie Mutuelle, 1ère mutuelle santé de France, organise un atelier-conférence, gratuit, sur le thème « Manger en toute conscience : une expérience sens’ationnelle » vendredi 27 septembre prochain de 18h à 20h30 à Cahors.

L’inscription est gratuite dans la limite des places disponibles.

*Le lieu exact de l’atelier sera communiqué à la confirmation d’inscription

Une prise de conscience pour l’apprentissage du bien manger : venez vivre l’expérience !

Adopter une alimentation équilibrée au quotidien est un facteur important pour préserver son capital santé. Que l’on soit chez soi ou au travail, sédentaire ou grand sportif, il est important d’apprendre à écouter son corps et à le respecter. Encore faut-il avoir les bons repères pour acquérir de meilleures habitudes.

Cet atelier-conférence sera animé dans un premier temps par une diététicienne sur les différentes faims qui nous poussent à manger et qui perturbent de ce fait notre organisme. Puis, une sophrologue proposera d’expérimenter le fait de manger en pleine conscience, avec ses 5 sens.

Des conseils simples et pratiques, notamment en matière d’équilibre alimentaire pour concilier bonne alimentation et plaisir seront donnés tout au long de cet atelier.